Matière organique, humus, NPK, traçabilité, directive nitrates, fertilisation raisonnée, rendement, qualité, maîtrise des charges... des «maux» bien connus de nous tous, les agriculteurs.

La fertilisation organique répond à ces exigences. Elle préserve votre sol et nourrit la plante.
L'organique remplace le chimique polluant et toxique et représente un «gisement» renouvelable.
Les effluents d'élevage, source de pollution pour certaines régions, deviennent une matière première noble pour nos terres céréalières.

Les substances nutritives exportées par nos cultures pour l'alimentation animale retournent ainsi dans nos sols. 

Plus sur la fertilisation organique

Toutes les récoltes exportent des éléments minéraux et appauvrissent nos sols. Sans fertilisation même un sol riche en nutriments finit par s'appauvrir au fil des années.
Tous les éléments nutritifs (majeurs, secondaires et oligo-éléments) sont indispensables à la nutrition des cultures.

Une déficience sur un seul élément peut perturber le métabolisme et affaiblir la plante. La fertilisation foliaire (azote, phosphore, potasse, oligo-éléments) permet de nourrir et de renforcer la plante contre les agressions climatiques et les maladies.

Respecter les plages de pH selon le type de traitement grâce à un correcteur de pH permet une meilleure efficacité de la bouillie et contribue ainsi au bon développement de la plante.

La fertilisation sous forme de granulés présente de nombreux atouts.
Avec un taux de matière sèche à 90%, le granulé apporte une régularité en NPK, un poids stable et il n'a pratiquement pas d'odeur.
Les contraintes météorologiques et culturales se trouvent réduites grâce à un épandage par semoir centrifuge sur chaumes ou sur cultures.

Le granulé permet aussi un semis localisé et une mise à disposition au plus près de la plante.